PRESENTATION
INTERVENTIONS
JEUX
DOCUMENTATION
RESUME DE COURS
ET BIBLIOGRAPHIE
FRESQUE
Le texte que j’ai étudié traite les serious game et d’un projet en particulier intitulé « jeu serai ».
Mais avant de vous présenter le projet, je vous propose une petite introduction des serious games.
Un serious game, c’est une activité qui combine une intention « sérieuse » pédagogique, informative, avec des ressorts ludiques. Donc on apprends en s’amusant.
Les serious game se multiplient de plus en plus à l’échelle internationale. Pourquoi s’est-il développé? Pour 3 facteurs:
-Il est un alibi pour traiter l’impact du jeu vidéo
-il est un moyen pour les professionnels du jeu de trouver un financement plus régulier.
-et c’est le moyen de médiation ultime de tous les enseignants.
A la suite de ça, on se demande quelle est la différence entre jeu sérieux et jeu pas sérieux; d’après le texte, lorsque l’on joue à un jeu sérieux, l’utilisateur va avoir la sensation que le résultat de ces actions et de ces choix vont influencer dans la vie réelle. Et c’est d’ailleurs l’objectif du créateur d’un jeu sérieux puisque c’est comme il est dit dans le texte: contrôler une partie des résultats du jeu dans la vie réelle. A partir de là, ils proposent une autre définition non pas du jeu sérieux mais plutôt du jeu utile, donc qui à un réel impact et une utilité dans la vie réelle. Il est dit: le jeu utile est un système dynamique formel dont le comportement produit des conséquences variables et des effets quantifiables. Pour ma part, je ne suis pas entièrement d’accord avec cette nouvelle définition, selon moi le fait de jouer à un jeu sérieux ne signifie pas forcément qu’il y aura de véritables effets dans le vie réelle. Certes il permettra aux joueurs d’acquérir de nouvelles connaissances, d’avoir une vraie réflexion autour d’un sujet ou bien les sensibiliser mais je remet en question le fait d’avoir forcément des effets quantifiables dans la vie réelle.
Enfin pour clôturer cette introduction, il est dit qu’un jeu utile doit être évalué selon deux critères:
-sa fonction de jeu (= le joueur doit avoir la sensation que ces actions influent le comportement du jeu et il doit être émotionnellement attaché aux résultats)
-et l’utilité d’usage de ce jeu par rapport à l’objectif définit.


Le projet jeu serai est un serious game retenu dans l’appel d’offre du ministère de l’industrie.
Le principe est simple, il a pour but d’orienter les joueurs dans leur parcours professionnel. C’est un jeu pour choisir son avenir.
Ce jeu vise à utiliser les mécanismes fondamentaux du jeu vidéo pour évaluer les centres d’intérêts et de motivation de l’utilisateur. Il s’agit donc d’un jeu digital. Le but est de faciliter le travail d’orientation et non pas de remplacer le conseiller d’orientation.
Par la suite, le texte énonce trois grandes fonctionnalités (notamment un là où j’ai eu du mal avec cette partie du texte):
-transformer des mécanismes d’interrogation direct d’expression des préférences pour des activités en une analyse des choix dans des situations de jeu. Personnellement je ne suis pas sure d’avoir compris cette phrase. Pour cela, ils s’appuient sur des principes d’analyses de psychologie sociale, cognitive, développementale et différentielle utilisés dans des modèles d’orientation professionnelle. Selon moi, cette fonctionnalités sert à changer les questions en jeu.
la seconde fonction est de faciliter la rédaction d’un récit de vie en procurant à l’utilisateur le moyen de rédiger une mémoire interactive et multimédia qui peur contenir des éléments visuels ou sonores qui font de plus en plus partie de nos boites à souvenirs personnelles.
Enfin la dernière fonction est d’offrir un mode de communication souple et individualisé entre l’utilisateur et le conseiller d’orientation en utilisant les mécanismes de jeux en ligne.

Par la suite, il est dit dans le texte que le jeu n’est pas parfait qu’il y a des contraintes:
Tout d’abord, il est composé de questionnaires auto-évaluatifs ce qui signifie que le résultat pourrait-être biaisé par manque de lucidité ou d’objectivité du joueur. Aussi, n’oublions pas qu’il s’agit d’un jeu, et que malgré le fait qu’il soit sérieux avec un objectif précis, certaines personnes auront tendance à ne pas répondre ou agir comme ils le feront dans le vie.
Une autre contrainte est évoquée: il s’agit de l’interface et des mécanismes d’interactions proposée; pour cela, la conception doit répondre à certains critères:
-le dispositif doit-être considéré à la fois comme un objet personnel et plaisant et en même tant sérieux puisque l’utilisateur construit un parcours professionnel









Le projet vise à élaborer un outil prototype, à l’expérimenter et à l’évaluer sur une population d’adulte.
D’après le texte, ils se sont surtout focalisés sur la première fonctionnalité donc: l’analyse du profil psychologique par analyse du comportement du joueur.
Afin de déterminer le profil des joueurs, il est mit au point des questionnaires avec plusieurs variables telles que des intérêts ou bien des prises de décisions. D’après le psychologue américain John Hollande, nous pouvons déterminer les différents intérêts professionnels d’une personne en se basant sur 6 types : Réaliste, conventionnel, investigateur, entreprenant, artistique ou encore social.
Je vais à présent vous expliquer brièvement le système du jeu:
Tout d’abord, l’observation permet d’analyser un comportement au travers de ses modèle d’orientation.
C’est un jeu solo, basé sur le web avec un univers en décalage et humoristique. Les joueurs ont la possibilité de personnaliser son univers en réalisant un objectif, pour cela plusieurs activités lui seront proposé et une fois l’activité finie il pourra améliorer son univers. L’univers est un bac à sable qui se déroule dans un village. C’est un monde où il y a 3 journées scénaristes: l’arrivée, la tempête et ma fête dans lesquelles sont proposés 18 minis jeux, 12 activités, 6 mini quizz et 22 personnages non joueurs dans les 10 bâtiments du village. Le joueur peut également personnaliser son avatar.
Dans les minis quizz, il y a divers sujets, afin d’éviter que les joueurs répondent au hasard, ils ont mit en place divers alternatives orientés vers le même genre de choix stratégiques.
Le jeu dure au total 2 à 3heures avec une cinquantaine d’activités.
L’objectif de ce jeu est de mesurer
-les préférences d’activités
-la persistance d’un intérêt par croisement des activités choisies
Le temps passé sur les différents types d’activités
L’expression de sa satisfaction subjective pour les activités dans le journal
Les modalités de choix d’activités
Et les choix d’aménagement

Enfin, le dernier sujet abordé est celui de la validation du jeu. Celle-ci porte sur 3 objectifs:
-l’intérêt du jeu, donc savoir si le joueurs s’est amusé, s’il a continué jusqu’à la fin, s’il a trouvé le jeu difficile et enfin s’il a trouvé un véritable intérêt au contexte raconté.
-savoir si l’objectif du jeu à fonctionné, s’il y a bien une différence avant et après avoir joué au niveau de la maturité vocationelle, et s’ils ont plus de recul sur leur futur vie professionnel.
-Et enfin, le troisième objectif est d’analysé la réaction des professionnels de l’orientation, afin de vérifier que les praticiens utilisent bien les informations fournies et donner un retour sur le jeu.

Critique du texte:

Comme il est dit dans le texte, l’univers est complètement à l’opposé du sujet, je ne sais pas si l’idée du bac à sable est vraiment opportuniste, je pense pas non plus qu’il faudrait que l’univers soit trop sérieux mais en tant que futur graphiste, je pense qu’il y a vraiment quelque chose pousser autour du design du jeu.
Personnellement , j’ai eu beaucoup de mal à imaginer le jeu juste en lisant le texte, il y a beaucoup d’informations et le mécanisme à l’ai vachement complexe en plus du fait qu’il est très long : minimum 2/3h.
Aussi, j’ai eu du mal à imaginer comment un jeu pouvait aider à déterminer notre avenir malgré tous les mécanismes mit en place. Je pense que c’est un projet très ambitieux qui risque de ne pas fonctionner comme les créateurs le souhaitent.
L’idée de dire qu’il n’existe seulement 6 grandes catégories : réaliste, conventionnel, investigateur, entrepreneur, social et artistique est intéressant, cependant il y a quand même beaucoup de métier dans le monde ce pourquoi il faudrait travailler sur cette question et voir si c’est une bonne solution de diviser ça en 6 grandes catégories.
ANALYSE CROISÉE:

Pour mon analyse croisée, j’ai trouvé intéressant de partagé mon point de vue sur la façon dont Charlotte et moi avions traité notre texte.
Le projet « jeu serai » était celui que nous avons eut à traité.
Charlotte a été la première à s’exprimer, la façon dont elle a décidé de résumé le texte était très différentes de la mienne, ce pourquoi j’aimerai souligner cette distinction.
Charlotte à directement entamé en expliquant le but du jeu, sans trop donné de détails. Elle s’est surtout concentrée sur les contraintes qu’il contenait et la façon dont il a été élaborer.
Elle ne suivait pas le plan du texte come j’ai pu le faire, elle a décidé de découper le texte d’une manière êtres différente, mais qui selon moi marchait tout aussi bien.
Pour ma part, j’ai opté pour la méthode basique: introduction, deux parties qui expliquent en quoi consiste le projet et ses contraintes et une conclusion contenant une partie critique. Malgré sa simplicité, cette méthode est sûre, elle me permet d’être organisée dans ce que j’essaye d’expliquer.
J’ai trouvé très pertinent la manière dont Charlotte a su tout ré expliquer avec ses propres mots, sans aucunes difficultés.
Tandis que la plupart du temps ou une partie était flou, je me contenter de répéter ce qui était dit dans le texte.
Au niveau de la critique, nous étions d’accord sur tous les points énoncés: jeu trop ambitieux, trop large de diviser les compétences de chacun en 6 catégories, les réponses peuvent être biaisées du fait de son apparence ludique.
En conclusion, si je compare le travail de Charlotte au miens, je dirai qu’ils sont tous deux dotées d’une vraie réflexion, chacune de nous l’a organisé à sa façon avec la même conclusion, ce qui signifie que nous sommes d’accord malgré notre manière très différentes d’expliquer le texte.