PRESENTATION
INTERVENTIONS
JEUX
DOCUMENTATION
RESUME DE COURS
ET BIBLIOGRAPHIE
FRESQUE
Lors de notre tour de table en cours de culture et de design, je dois bien avouer qu'il n'a pas été aisé de trouver une personne avec laquelle associer mon texte, traitant de l'informatisation et de la société numérique des années 60 à nos jours. Pour autant, j'ai trouvé le texte de Laetitia particulièrement pertinent et il m'a semblé juste de le choisir pour ce travail de comparaison et d'analyse. Le texte attribué à ma camarade est un extrait du livre "la philosophie des jeux vidéo" écrit par Mathieu Triclot et paru en 2011. Dans mon propre texte, l'auteur prenait le parti de mettre en avant plusieurs grands acteurs du progrès numérique et technologique comme l'apparition de la borne électronique dans les supermarchés et de la manière dont ce type d'avancée était par la suite utilisée par notre société (ce genre de technologies était souvent mise au service du capitalisme, c'est ce que l'exemple de la borne électronique mettait d'ailleur en valeur) et le jeu vidéo permet une intéressante corrélation des propos de nos deux texte car Mathieu Triclot cas désigner par le terme "gamification", une large transformation des gens par le jeu vidéo et pas l'inverse. Le progrès technologique n'est en soi pas néfaste, bien au contraire même il facilite de nombreuses tâches, permet une amélioration de nos conditions de vie etc. Pour autant, c'est en étant mis au service d'une société à la philosophie erronée que ces technologies viennent provoquer des débats d'ordres éthiques. Le jeu vidéo fait partie de ces objets de débats et en tant que curiosité de notre monde moderne, il n'appartient qu'à ceux qui souhaitent en faire un objet politique de le faire et cela aura bien évidemment pour effet de provoquer une remise en question des joueurs en tant que sujets même. Car malgré son statut de simulateur immersif, le jeu vidéo ne coupe pas l'utilisateur du monde qui l'entoure. Il faut donc faire preuve d'adresse si l'on veut que le jeu vidéo s'insère convenablement dans la politique moderne sans produire un effet à l'antipode de l'idée de progrès en adéquation avec notre société comme nous l'évoquions plus tôt.