PRESENTATION
INTERVENTIONS
JEUX
DOCUMENTATION
RESUME DE COURS
ET BIBLIOGRAPHIE
FRESQUE
Au début des années 80/90, on commence à s’interroger sur la place du public et de l’utilisateur dans le design graphique.

Dans une volonté de retourner cette approche du marché et de la publicité du consommateur face à l’entreprise, dans le design le spectateur/lecteur face au graphiste, on cherche à créer une approche horizontale et à supprimer ce rapport de force. Dans ce retournement des contextes précédents du design graphique, en étant une entreprise ou une entité de pouvoir le commanditaire/le sujet actif face au public, on cherche à briser la distance avec le spectateur en le faisant participer.

Ainsi à travers de dispositifs de facile accès et on cherche à démocratiser et à établir un dialogue avec le design, dans le cadre d’une société/groupe ou d'un espace géographique.
Face à une distance accablante entre la figure de l'artiste et du citoyen, et grâce au développement des politiques culturelles et sociales, le designer social trouve un espace dans les espaces publics.
Dans cette volonté de démocratiser, de diffuser et de renverser le rapport d’expertise, les citoyens deviennent eux aussi partie prenante de l’espace et de la ville à travers des dispositifs ou la participation de tous est indispensable.
À travers des lieux consacrés à ces dispositifs, qui impliquent une médiation culturelle, dans le sens où il y a un partage de savoirs et un enrichissement parmi les parties, le design social cherche à participer et à faire participer les parties dans les transformations éducatives et culturelles contemporaines. Dans un contexte d'éducation ou de prise en conscience écologique, on pourrait considérer le design social comme un outil d'approche et de participation citoyenne.