Le second document que j'ai pu étudier est plus terre à terre si je puis m'exprimer ainsi de par sa forme très solennelle, et de par sa présentation qui se veut sérieuse d'entrée de jeu avec cette couverture en applat surplombée de quelques éléments textuels eux même porteur d'une police avec empattements, ce qui ne fait qu'accentuer ce côté stricte et directe évoqué plus haut. C'est un ouvrage organisé en différents chapitres tous accompagnés de photos et de schémas cherchant à délivrer des informations qui soit le plus clair que possible. L'introduction de ce livre présente même quelques définitions qui seront des plus utile pour comprendre toutes les subtilités qu'il contient. En son sein, il renferme de nombreuses informations très techniques comme des statistiques precises ou des resultats d'études menées par des experts comme celle énonçant le fait que le livre soit, le bien le plus consommé par le français bien que ce soit une industrie en perpétuel déclin. La corrélation de ces deux types de registres proposés par ces deux documents m'a permis de dégager de nombreux éléments importants pour la conception de la fresque de notre groupe mais aussi pour l'écriture de mon texte nécessaire à la création du manuel du livre durable.

Ce livre met surtout en lumière les principaux travers du monde de l'édition et par conséquent de la chaîne du livre à une heure ou le livre, en tant qu'objet de culture, représente le premier bien acheté par les français. Néanmoins les ventes de livres ne cessent de chuter, nous assistons donc à un paradoxe dangereux qui mène l'industrie du livre à s'évertuer dans ce mode de surproduction dans lequel les bénéfices sont de plus en plus absent. Le livre propose néanmoins une solution qu'il considère comme trop peu développé aujourd’hui, il s'agit d'une prise de conscience menant à un véritable engagement environnementale, il est même considéré je cite, comme:"un levier de performance pour les éditeurs". Cet engagement environnementale est absolument nécessaire pour aboutir à une économie plus saine, sans parler de l'écologie qui aurait tout à a gagner à voir sa production réglée notamment en ce qui concerne la production abusive de gaz à effet de serre, sans parler de l'utilisation massive d'eucalyptus nécessaire au processus de développement de la pâte à papier, ou bien encore de la surexploitation forestière qui reviens malheureusement toujours lorsque l'on affronte ce type de problèmatiques.